« Pourquoi un désert cinématographique ?» : un ouvrage collectif chez L’Harmattan
Dix-huit auteurs de quinze nationalités différentes se sont réunis autour de la question peu traitée du rôle des États africains francophones vis-à-vis de leur filière cinématographique nationale...
En 2020, sur la vingtaine de pays concernés, plus de la moitié ne possèdent au plus qu’une seule salle de cinéma en activité, et rares sont ceux qui arrivent à produire et distribuer régulièrement ne serait-ce qu’un film par an. Production, distribution, exploitation des films, mais aussi industries techniques n’ont jamais existé que dans une minorité de ces pays.
Sous la supervision de Claude Forest, Professeur des Universités en études cinématographiques, cet ouvrage de 400 pages est divisé en 15 chapitre-pays, regroupés en 3 parties (influence soviétique, française, « velléitaire ») : Algérie, Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Guinée, Maroc, Niger, RCA, RDC, Sénégal, Tchad, Togo et Tunisie.
« Etats et cinéma en Afriques francophones – pourquoi un désert cinématographique », L’Harmattan, 39 euros (commande@harmattan.fr )
Contact promotion & presse Virginie Robert, 01.40.46.79.24 virginie.robert@harmattan.fr