Nouveau : Design (Images Francophones) et Facebook (Africiné)
Lancement, à partir de cette semaine. Une expertise signée Africultures. Un hommage appuyé à Beti Ellerson, un accent international avec Sonia Amori et Angela Roe (photo).
Une nouvelle adresse, sur Facebook
L'importance des réseaux sociaux pour la visibilité des cinémas africains et Diaspora est majeure. Après 6 ans avec une " page profil " Facebook ouverte à tous publications afin de répercuter le plus d'informations possibles, la revue électronique Africiné (Dakar) lance une page Facebook, sur les bons conseils de Nadine Otsobogo, chef maquilleuse, réalisatrice et productrice gabonaise.
L'équipe des cinq administrateurs de la page est internationale : Pélagie Ng'onana (Cameroun, établie à Yaoundé), Francis Ameyibor (Ghana, travaillant à Accra), Aboubacar Sanfo (Burkina Faso, vivant à Ouaga), Mahrez Karoui (Tunisie, établi à Abidjan) et Thierno Dia (Sénégal, habitant Bordeaux). Internationale est aussi la volonté d'ouvrir cet espace au monde entier, en mettant en illustration la réalisatrice Angela E. Roe et en photo de couverture l'actrice Sonia Amori.
Cette dernière est Française et actuellement sur les écrans dans Loin des hommes de David Oelhoffen, avec Viggo Mortensen, Reda Kateb, Antoine Laurent. Également Metteur en scène, elle a joué dans plusieurs films (et à la télé), comme La Journée de la jupe, aux côtés d'Isabelle Adjani. Dans Brûleurs de Farid bentoumi, elle est cette jeune femme voilée qui enflamme l'écran avec sa chevelure rousse enfin libérée et sa beauté tranquille. Elle est l'actrice principale du long métrage Le voile brûlé de Viviane Candas, sortie en salles le 17 Avril 2013 (distribué par Franck Llopis, Les films à fleur de peau). Elle est représentée par Dorothée GROSJEAN (Talent Box, Paris).
Quant à Angela E. Roe, elle est métisse (Surinaméenne, Curaçaoenne, et Hollandaise) et parle français. Anthropologue de formation, elle vient de coréaliser (avec Selwyn de Wind) le film documentaire Shadow of Color (Sombra di Koló), sur l'ombre que la couleur jette sur Curaçao, en analysant l'un des plus grands tabous de cette île (anciennement Antilles néerlandaises) : ce qu'y signifient "la race" et "la couleur de peau", aujourd'hui.
La première publication de la page (www.facebook.com/AfricineCritics.FACC) est un vibrant hommage au travail essentiel de l'Américaine Beti Ellerson. Chercheuse d'exception (elle dirige un centre de recherches sur les femmes africaines au Cinéma, le Center for the Study and Research of African Women in Cinema, AFWC), elle est également réalisatrice sur les cinéastes féminins avec Sisters of the Screen: African Women in Cinema (Cinéma d'Afrique au féminin), en 2002.
Critique de cinéma à l'ancienne revue Ecrans d'Afrique (Ouaga / Milan), elle collabore avec la revue électronique Africiné (Dakar). Ses notules, articles, entretiens permettent de faire connaître plusieurs figures et films. Son blog (http://africanwomenincinema.blogspot.fr/) a mis ainsi à l'honneur la réalisatrice égyptienne Jihan el Tahri, l'universitaire anglais Zélie Asava (d'origine kenyane et irlandaise, auteure d'un récent livre sur les Irlandais noirs au cinéma) ou encore Nassima Guessoum, réalisatrice franco-algérienne.
Un nouveau design (bientôt), pour Images Francophones
C'est Africultures qui fait tourner le site internet Images Francophones. L'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF, Paris) en a confié la maîtrise d'œuvre à l'association Africultures qui gère toute la partie informatique, design et a confié la rédaction à la revue Africiné, le leader mondial (cinémas africains & Diaspora). L'expertise d'Africultures sur les cultures du sud n'est plus à démontrer, même si la part dévolue à la technicité informatique est plus modestement connue. Une refonte totale dynamise l'ensemble de la base de données partagée par Africultures, Sudplanète, Africiné ainsi que depuis septembre 2012 Images Francophones, le site web professionnel de l'OIF. Une de film ou de personne publiée sur Africiné apparaît ainsi sur au moins 3 à 4 des sites liés, ce qui augmente sa visibilité
Juste avant de finir son contrat à Africultures, Raphaël Chassigneux a proposé un nouveau design du plus bel effet pour Images Francophones. Les images sont mieux mis en avant, avec les anciens articles plus accessibles. Le développement informatique ainsi que la maintenance permanente sont menés d'une main de maître par Maxime Nicolas et Samuel Brozzu.
La date de mise en ligne de la nouvelle maquette n'est pas encore arrêtée. Elle peut intervenir cette semaine ou plus tard. L'important étant bien sûr de s'assurer de la meilleure version possible à vous offrir, chers internautes, pour votre confort et votre visibilité professionnelle, car le site est d'abord un moyen de prolonger l'accompagnement du Fonds Images de la Francophone au service des cinémas du Sud et de partager avec le monde entier votre talent (même s'il nous arrive ne pas pouvoir tout répercuter faute de places ou de délais de publication).
Thierno I. Dia
Images Francophones
Photo : la réalisatrice et productrice Angela E. Roe
Crédit : Selwyn de Wind
L'importance des réseaux sociaux pour la visibilité des cinémas africains et Diaspora est majeure. Après 6 ans avec une " page profil " Facebook ouverte à tous publications afin de répercuter le plus d'informations possibles, la revue électronique Africiné (Dakar) lance une page Facebook, sur les bons conseils de Nadine Otsobogo, chef maquilleuse, réalisatrice et productrice gabonaise.
L'équipe des cinq administrateurs de la page est internationale : Pélagie Ng'onana (Cameroun, établie à Yaoundé), Francis Ameyibor (Ghana, travaillant à Accra), Aboubacar Sanfo (Burkina Faso, vivant à Ouaga), Mahrez Karoui (Tunisie, établi à Abidjan) et Thierno Dia (Sénégal, habitant Bordeaux). Internationale est aussi la volonté d'ouvrir cet espace au monde entier, en mettant en illustration la réalisatrice Angela E. Roe et en photo de couverture l'actrice Sonia Amori.
Cette dernière est Française et actuellement sur les écrans dans Loin des hommes de David Oelhoffen, avec Viggo Mortensen, Reda Kateb, Antoine Laurent. Également Metteur en scène, elle a joué dans plusieurs films (et à la télé), comme La Journée de la jupe, aux côtés d'Isabelle Adjani. Dans Brûleurs de Farid bentoumi, elle est cette jeune femme voilée qui enflamme l'écran avec sa chevelure rousse enfin libérée et sa beauté tranquille. Elle est l'actrice principale du long métrage Le voile brûlé de Viviane Candas, sortie en salles le 17 Avril 2013 (distribué par Franck Llopis, Les films à fleur de peau). Elle est représentée par Dorothée GROSJEAN (Talent Box, Paris).
Quant à Angela E. Roe, elle est métisse (Surinaméenne, Curaçaoenne, et Hollandaise) et parle français. Anthropologue de formation, elle vient de coréaliser (avec Selwyn de Wind) le film documentaire Shadow of Color (Sombra di Koló), sur l'ombre que la couleur jette sur Curaçao, en analysant l'un des plus grands tabous de cette île (anciennement Antilles néerlandaises) : ce qu'y signifient "la race" et "la couleur de peau", aujourd'hui.
La première publication de la page (www.facebook.com/AfricineCritics.FACC) est un vibrant hommage au travail essentiel de l'Américaine Beti Ellerson. Chercheuse d'exception (elle dirige un centre de recherches sur les femmes africaines au Cinéma, le Center for the Study and Research of African Women in Cinema, AFWC), elle est également réalisatrice sur les cinéastes féminins avec Sisters of the Screen: African Women in Cinema (Cinéma d'Afrique au féminin), en 2002.
Critique de cinéma à l'ancienne revue Ecrans d'Afrique (Ouaga / Milan), elle collabore avec la revue électronique Africiné (Dakar). Ses notules, articles, entretiens permettent de faire connaître plusieurs figures et films. Son blog (http://africanwomenincinema.blogspot.fr/) a mis ainsi à l'honneur la réalisatrice égyptienne Jihan el Tahri, l'universitaire anglais Zélie Asava (d'origine kenyane et irlandaise, auteure d'un récent livre sur les Irlandais noirs au cinéma) ou encore Nassima Guessoum, réalisatrice franco-algérienne.
Un nouveau design (bientôt), pour Images Francophones
C'est Africultures qui fait tourner le site internet Images Francophones. L'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF, Paris) en a confié la maîtrise d'œuvre à l'association Africultures qui gère toute la partie informatique, design et a confié la rédaction à la revue Africiné, le leader mondial (cinémas africains & Diaspora). L'expertise d'Africultures sur les cultures du sud n'est plus à démontrer, même si la part dévolue à la technicité informatique est plus modestement connue. Une refonte totale dynamise l'ensemble de la base de données partagée par Africultures, Sudplanète, Africiné ainsi que depuis septembre 2012 Images Francophones, le site web professionnel de l'OIF. Une de film ou de personne publiée sur Africiné apparaît ainsi sur au moins 3 à 4 des sites liés, ce qui augmente sa visibilité
Juste avant de finir son contrat à Africultures, Raphaël Chassigneux a proposé un nouveau design du plus bel effet pour Images Francophones. Les images sont mieux mis en avant, avec les anciens articles plus accessibles. Le développement informatique ainsi que la maintenance permanente sont menés d'une main de maître par Maxime Nicolas et Samuel Brozzu.
La date de mise en ligne de la nouvelle maquette n'est pas encore arrêtée. Elle peut intervenir cette semaine ou plus tard. L'important étant bien sûr de s'assurer de la meilleure version possible à vous offrir, chers internautes, pour votre confort et votre visibilité professionnelle, car le site est d'abord un moyen de prolonger l'accompagnement du Fonds Images de la Francophone au service des cinémas du Sud et de partager avec le monde entier votre talent (même s'il nous arrive ne pas pouvoir tout répercuter faute de places ou de délais de publication).
Thierno I. Dia
Images Francophones
Photo : la réalisatrice et productrice Angela E. Roe
Crédit : Selwyn de Wind