L’Afrique excentrée au Réel
Le Cinéma du réel qui se projette à Paris, du 19 au 29 mars 2015, se vit comme un croisement de regards sur les réalités du monde. La politique des auteurs s’y affirme jusqu’aux confins des frontières africaines.
La multiplicité du Réel
Le festival de films documentaires qui tient ses quartiers de printemps autour du Centre Pompidou, son siège névralgique dans le quartier Beaubourg, à Paris, est devenu une institution, attendue pour révéler les nouvelles tendances du genre. Le programme est fourni avec des découvertes en premières pour le public, et des rencontres structurées pour les professionnels. La Compétition internationale (11 longs-métrages) et la Compétition française (10 films) témoignent de l’ouverture des cinéastes documentaires aux évolutions des individus et des sociétés. La Compétition internationale Premiers films (9 titres, du premier au troisième long-métrage) sert de révélateur ou de confirmation, complétée par la Compétition internationale Courts-métrages (11 films) qui propose des oeuvres moins formatées par les impératifs de durée des diffuseurs documentaires. La teneur de cette sélection épouse le glissement progressif du festival de films ethnographiques, initié à l’origine dans le sillage de Jean Rouch, vers une manifestation attachée à défendre une certaine poétique des regards sur le monde. « La singularité est d’ailleurs le dénominateur commun des films présentés au programme cette année », estime Maria Bonsanti, Directrice artistique actuelle du Cinéma du réel. « Une singularité jamais éphémère, découlant toujours d’une nécessité, émanant de réalités sociales, politiques, culturelles."
La 37ème édition est l’occasion d’appuyer la productivité française en matière de documentaires en la confrontant à la situation plus précaire des réalisateurs dans le monde. Les diverses sections qui complètent les sélections compétitives valorisent la reconnaissance de réalisateurs réputés comme pour poser des repères de la création documentaire. La carte blanche à « Keith Griffith : Anxious visions » (13 films) éclaire l’action de ce producteur et réalisateur britannique qui a cherché à déplacer les frontières du cinéma documentaire. Dans une nouvelle section, « Shelley Silver – in between » (18 films), la réalisatrice américaine remet en question son désir de sonder l’envers des représentations dans des œuvres entre réel, art et fiction, en les discutant avec trois cinéastes choisis dont l’Israélien rebelle Avi Mograbi. « Amit Dutta : de l’autre côté du miroir » (12 films) célèbre la figure du cinéaste indien contemporain, explorant le cinéma comme une machine à voyager dans un univers plastique, inspiré par l’environnement revisité. « Haskell Wexler : A l’œuvre » (11 films) soutient le travail du directeur photo des Etats-Unis, engagé dans la production et l’apport à des documentaires de combat contre le capitalisme, le racisme, la pollution en Amérique. « Une histoire en images : Focus sur la Cinémathèque de Grèce » (12 films) permet d’aborder la structuration progressive de cette institution de 1924 à 2012, son rôle dans la conservation et l’encouragement aux documentaires. « Au-delà de son attachement évident au cinéma documentaire de création, Cinéma du réel trouve à notre avis son identité actuelle dans sa volonté de faire le pont entre expériences passées, du présent et à venir », souligne la Directrice artistique. Parmi les séances spéciales, « Arrested cinéma : Chine » propose une réflexion sur la place des réalisateurs engagés dans le monde, en considérant cette année deux auteurs chinois, Zhao Liang et Hu Jie. Cette profusion d’images documentaires offre pourtant quelques détours au public, toujours nombreux, comme la section malicieuse « Vampires du cinéma » (11 films) où figure la singulière et fameuse comédie musicale engagée du Mauritanien Med Hondo, West Indies ou les Nègres Marrons de la liberté. Réalisée en 1979, elle vampirise effectivement un genre codifié par le cinéma occidental dominant pour « montrer que chaque peuple sur terre a sa propre comédie musicale », selon le cinéaste lui-même.
La production du Réel en discussion
L’éclectisme des visions du Cinéma du réel prend sens par l’organisation d’échanges avec les réalisateurs invités, les discussions animées qui surviennent souvent entre spectateurs et professionnels dans les longues files d’attente pour accéder aux séances. Des débats et des tables rondes réunissent des collectifs documentaires et des représentants de la profession pour questionner le devenir du genre, alors que les financements du cinéma changent d’amplitude et d’organisation dans les espaces francophones les plus combatifs comme la France. L’accès plus aisé aux caméras légères, favorise la densité de la production documentaire et l’apparition de nouveaux cinéastes sans que cela leur garantisse une longue carrière. Les rencontres professionnelles du Cinéma du réel abordent de front la question en demandant : « Après le premier film, comment s’affirmer ? », au cours d’une journée de réflexion sur ce thème, structurée en deux temps. Dans une première partie, « Paroles d’auteurs », cinq cinéastes remarqués pour leur premier film témoignent de leur expérience par la suite. Parmi eux, le Congolais Dieudo Hamadi, également membre du jury de la Compétition internationale, révélé avec Atalaku, en Compétition Premier film 2013, évoque ce que lui a apporté le festival qui a sélectionné en Compétition internationale 2014, Examen d’Etat. Profitant de sa visibilité, de ses contacts au Cinéma du réel, il travaille aujourd’hui sur deux films, toujours produits en France, attachés aux réalités de la République Démocratique du Congo où il vit. A ses côtés, l’Algérien Lamine Ammar-Khodja, connu pour Demande à ton ombre, 2012, basé sur ses impressions de la situation de son pays, aborde la manière dont il développe un nouveau projet en cultivant sa subjectivité. Pour sa part, Mati Diop, de père sénégalais et de mère française, cherche à dépasser ses essais documentaire, Atlantiques, 2009, et Mille soleils, 2013, en travaillant sur un long-métrage de fiction plus ambitieux.
En complément, une table ronde entre auteurs, producteurs et diffuseurs, évalue « Les clés d’une collaboration vertueuse ». Elle vise à définir avec quelles réalités il faut composer, en terme de contraintes économiques de production, et de ligne éditoriale pour les diffuseurs. Les enjeux du deuxième film paraissent alors reposer sur la motivation des réalisateurs mais aussi leur accompagnement par des producteurs avisés, de métier, attachés à la permanence de la production documentaire et ses mécanismes de soutien. La deuxième partie de la journée d’échanges est plus concrète avec des « Etudes de cas ». Namir Abdel Messeeh, originaire d’Egypte, présent au Festival de Cannes 2012 avec La vierge, les coptes et moi, présente son nouveau projet en écriture, Notre village, et la manière dont il compte étayer sa production. Andreï Schtakleff, co-auteur de L’Exil et le Royaume, 2008, expose les enjeux de son nouveau film en finition, La Montagne magique. Ces témoignages attestent du temps nécessaire à la création documentaire, à la structuration d’un projet apte à être produit, soulignant aussi les difficultés pour affirmer son regard dans l’espace de diffusion déjà bien rempli d’un pays comme la France. D’ailleurs les professionnels manifestent leurs inquiétudes au Réel, lors de la discussion intitulée : « Comment continuer à produire avec les chaînes locales ? » Peu de temps avant, de nombreux réalisateurs, producteurs, responsables culturels, ont signé une tribune, « Nous sommes le documentaire », parue dans Le Monde du 12 mars 2015, dénonçant les chaînes de télévision publiques qui ne soutiennent pas la production et la diffusion de documentaires de « création ». [ noussommesledocumentaire.fr/ pour ajouter votre signature et lire le texte, ndlr] Ce texte pointe la soumission du service public à l’Audimat au détriment d’un genre pourtant prolifique, de qualité, tandis que les chaînes locales peuvent mobiliser peu de moyens pour coproduire et diffuser. Du coup, les festivals tel Cinéma du réel, semblent les seules fenêtres de découverte pour les documentaires de « création » même si quelques uns accèdent à la distribution en salles.
La condition africaine au bord du Réel
Dans ce contexte, il n’est pas étonnant de constater que Cinéma du réel est peu réceptif aux productions documentaires venues d’Afrique. Les réalisateurs du genre ne manquent pourtant pas sur le continent mais leur mode de production locale et les moyens qui en découlent ne leur permettent guère de prendre beaucoup d’amplitude en traitant leurs sujets. Même si le festival a pu par le passé, relayer l’action d’auteurs africains tel le Sénégalais Samba Félix Ndiaye, l’Algérien Malek Bensmaïl par exemple, ou encourager plus récemment le Burkinabé Michel K. Zongo en sélectionnant Espoir-voyage, en 2012, il faut noter que ce sont surtout des apports de post production ou de production des espaces francophones qui ont permis d’étayer la qualité techniques de leurs films pour les positionner sur le marché de diffusion international. L’exemple actuel de Dieudo Hamadi, illustre l’aptitude de certains cinéastes du continent africain à trouver des alliés dans l’espace francophone occidental pour développer leur création documentaire. En ce sens, la collection Africadoc dont les initiateurs et des responsables fréquentent depuis leurs débuts, le Cinéma du réel, bénéficie des réflexions et des collaborations engagées autour du festival pour relayer l’expression de réalisateurs africains dans un dialogue de production évolutif, visible sur un large marché.
L’Afrique est malgré tout tangible dans les programmes du Cinéma du réel, sensibles aux déplacements des cinéastes, à l’élargissement du champ visuel, à l’exploration du langage et de la différence. Il est alors logique que ce soit dans la Compétition française que l’on trouve le plus de films en relation directe avec le continent africain. Les productions de l’Hexagone cultivent souvent un intérêt mesuré pour les sujets africains et leurs valeurs, leurs évolutions, le sort des individus déplacés. La condition des migrants remonte inéluctablement comme un fait de société marquant, imprimé dans nombre de films du Cinéma du réel. Un collectif de réalisateurs, Anouck Mangeat, Noémi Aubry, Jeanne Gomas et Clément Julliard, assemble ses vues pour Et nous jetterons la mer derrière vous, un documentaire inédit, en Compétition française. On y parcourt les zones tampons de l’Europe de l’Est, en Grèce, en Turquie, où les migrants de tous horizons cohabitent en attendant mieux. Des regards qui soulignent la rudesse de leurs conditions de vie dans des espaces qui se révèlent des « non-lieux », selon les cinéastes. Face à cette dépossession humanitaire, identitaire, ils recueillent les détails techniques et géographiques de l’itinéraire de quatre hommes en particulier. Parmi eux, un jeune sportif marocain, échoué sur une île grecque où il est bloqué, exprime son désir de persévérer et d’échapper à l’enfermement à ciel ouvert. Les souffrances de l’émigration renvoient vers les clivages politiques du monde oriental comme aux problèmes économiques qui freinent l’avenir des espaces maghrébins, alors que les réalisateurs français prennent soin de mobiliser des images issues de différents supports pour étayer leur approche territoriale humaniste.
Contours de l’Afrique dans le Réel
La tentation de se concentrer sur des cas particuliers pour aborder les questions qui traversent les rapports entre le monde africain et le monde occidental, alimente des portraits révélateurs. Damien Froidevaux qui présente La mort du dieu serpent, 2014, parmi les Séances spéciales, s’attache au sort de Koumba. Cette jeune Sénégalaise, arrivée en France à l’âge de deux ans avec ses parents, se fait expulser au Sénégal après une mauvaise bagarre à Paris. Elle se trouve en situation délicate, bloquée dans un pays où elle n’a pas ses marques, faute d’une demande de naturalisation qu’on a négligé de demander à sa majorité. Le cinéaste retrace son exil pendant cinq ans, multipliant les voyages au Sénégal pour la filmer et appuyer ses démarches. Loin de ses parents restés en France, de ses amis parisiens, elle se rebelle, se retrouve enceinte d’un deuxième enfant qui décède de maladie. Elle perd pied, reprend courage, change de village. La fille farouche se transforme en mère sénégalaise, glissant peu à peu vers la résignation. Ses coups de gueule contre la famille locale, ses coups de cafard, ses démarches têtues impliquent le réalisateur comme un témoin complice et actif. « Dès le départ, elle me fait basculer dans le film avec elle, de l’autre côté du monde », observe t’il. Le documentaire prend alors des allures de redresseur d’image, établissant un dialogue entre Paris et Dakar.
Mais l’attention au continent africain peut être aussi motivé par un retour vers le passé, éclairant les liens particuliers tissés avec l’Europe. Pilar Monsell, en Compétition internationale avec Africa 815, évoque le séjour de son père dans le Sahara espagnol en tant que médecin de l’armée. En combinant les traces écrites de sa mémoire, les photos, les films Super 8 paternels, elle éclaire les orientations contrastées du jeune militaire. La promiscuité des soldats de la colonie espagnole, isolée dans le désert, volontairement coupée des habitants, favorise son penchant pour les hommes. Il cultive des relations amoureuses avec eux tout en aspirant à fonder une famille plus traditionnelle. De retour en Espagne, il se marie, devient médecin, père de trois enfants, sans cesser de revenir vers le Maghreb cultiver des relations sentimentales exotiques avec des hommes jeunes qui cherchent à tirer parti de ses aventures pour gagner l’Europe. Cette quête se teinte d’amertume avec les échecs et les désillusions que confie le père à sa fille qui tient la caméra. Son histoire évoque l’ambiguïté des rapports qui peuvent se tisser entre les hommes européens et ceux du Maghreb. La réalisatrice suggère ainsi dans cette production espagnole, les fantasmes liés à l’attrait de l’exotisme. A partir d’un destin individuel, elle esquisse une métaphore sur la fonction d’un espace africain troublant et révélateur.
Constellation de l’Afrique au Réel
Cette démarche valorisant un sujet humain avec sa complexité, est aussi à l’oeuvre dans Gam Gam de Natacha Samuel et Florent Klockenbring, présenté en première mondiale dans la Compétition française. Ils suivent de près pour plus de deux heures de film, les pas de Karim, un Burkinabé, établi à Brest, employé à l’aéroport depuis plusieurs années, revenant à Ouagadougou pour passer deux mois comme il le fait tous les deux ans. Il en profite pour renouer les liens familiaux, contribuer à restaurer la maison des siens, faire le tour de ses connaissances, sans négliger de ménager ses affaires. La chronique patiente, rapprochée, gagnée au jeu de Karim, souligne les tiraillements du personnage et ses rapports avec l’entourage, impressionné, envieux ou dénigrant sa réussite à l’étranger. En décalage et parfois en rupture, il manifeste les changements qui s’opèrent chez un individu plongé dans une culture avec d’autres repères que celle de ses origines. Le sujet est directement vécu par Rachid Djaïdani, né de père algérien et de mère somalienne, qui réside en France. Le cinéaste est révélé à la Quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes 2012 avec Rengaine, un conte métissé, tourné à Paris, qui revendique l’alliance des différences.
Aujourd’hui, Rachid Djaïdani participe à la Compétition française avec Encré, un portrait documentaire inédit, qui l’entraîne aux Etats-Unis. Il capte le parcours et l’œuvre de Yassine Yaze Mekhnache, saisi de Paris à Marrakech, jusqu’à New York où l’artiste exprime des sentiments contrastés en exposant dans une galerie. Motivé par ses créations plastiques, à partir de toiles qu’il fait broder à la main par des femmes au Maroc, il subit les travaux de rénovation dans la galerie en l’absence imprévue de la propriétaire. Yaze doit alors assurer les préparatifs des œuvres pour le vernissage au milieu d’un chantier interminable. Son périple artistique, ses péripéties, ses doutes d’autodidacte inspiré, rythmés par des musiques de François Rabbath, sont perçus avec un regard aiguisé par les propres strates culturelles de Rachid Djaïdani, combinées dans une production française indépendante et participative. Son approche, soucieuse d’art, de véracité et d’écriture, s’inscrit opportunément dans les visions de Cinéma du réel 2015 « où des films polymorphes, toujours différents, parfois "impurs", refusent d’être harnachés dans les filets de la classification », selon la ligne éditoriale revendiquée. « Des films où le réel est réécrit, imaginé et raconté à travers le prisme d’autres formes d’expression. »
par Michel AMARGER
(Africiné / Paris)
pour Images Francophones
Palmarès 2015 - Cinéma du réel (19 au 29 mars)
Le jury de la compétition internationale composé de Julie Bertuccelli, Dieudo Hamadi, Hong Hyosook, Véréna Paravel et Clarence Tsui a décerné :
> Le Grand Prix Cinéma du réel à
Killing Time – Entre deux fronts de Lydie Wisshaupt-Claudel
Doté de 8000 € par la Bibliothèque publique d’information avec le soutien de la Procirep.
> Le Prix international de la Scam à
Une jeunesse allemande de Jean-Gabriel Périot
Doté de 5000 € par la Scam.
> Mentions spéciales du jury à Noche herida (Nuit blessÉe) de Nicolás Rincón Gille et In The Underground de Zhantao Song
Le jury de la compétition internationale Premiers films et de la compétition internationale Courts métrages, composé de Carlos Casas, Fiorella Moretti et Andréa Picard, a décerné :
> Le Prix Joris Ivens à
Strannye Chasticy (Strange Particles) de Denis Klebleev
Doté 5000 € par Marceline Loridan-Ivens et l’Ina.
> Le Prix du court métrage à
A Festa e os cães (THE PARTY AND THE BARKING) de Leonardo Mouramateus
Doté de 2500 € par la Bibliothèque publique d’information et par Vectracom
Le jury de la Compétition française, composé de Oskar Alegria, Claude Brenez et Christoph Terhechte, a décerné :
> Le Prix de l’Institut français–Louis Marcorelles à
Souvenirs de la Géhenne de Thomas Jenkoe
Doté de 7000 € par l’Institut français, avec un achat de droits (3000 €) pour la diffusion du film sur IFcinema.
Mention à Nocturnes de Matthieu Bareyre
Le Jury des Jeunes – Cinéma du réel, composé des lycéens Charlotte Bochard, Fahel Muller, Clémentine Balloum, Zoé Coutard, Jean-Victor Yim et Julien Hermine-Bromberg, et de la réalisatrice Marie-Pierre Brêtas, a décerné :
> Le Prix des jeunes – Cinéma du réel (parmi les 3 sections de longs métrages) à
Strannye Chasticy (Strange Particles) de Denis Klebleev
Doté de 2500 € par l’association Les Amis de Cinéma du réel, avec le soutien de la Mairie de Paris
Mention à C'est ma vie qui me regarde de Damien Fritsch
Le jury des bibliothèques composé de Jean-François Baudin, Élisabeth Legrand, Emmanuelle Sruh et de la cinéaste Éléonor Gilbert, a décerné :
> Le Prix des bibliothèques (parmi les 3 sections de longs métrages) à
Hier sprach der Preis (The Price Was Key) de Sabrina Jäger
Doté de 2500 € par la Direction générale des médias et industries culturelles, Ministère de la Culture et de la Communication.
Mentions à C'est ma vie qui me regarde de Damien Fritsch et à une partie de nous s’est endormie de Marie Moreau
Le département du pilotage de la recherche et de la politique scientifique, Ministère de la Culture et de la communication a décerné
> Le Prix du patrimoine de l’immatériel (parmi les 3 sections de longs métrages) à
Nocturnes de Matthieu Bareyre
Doté de 2500 € par le Département du pilotage de la recherche et de la politique scientifique, Ministère de la Culture et de la Communication.
Le jury des éditeurs/Potemkine, composé de Sabine Costa, Nicolas Giuliani et Joséphine Mourlaque, a décerné :
> Le Prix des éditeurs (parmi les 3 sections de longs métrages) à
Rabo de Peixe de Joaquim Pinto, Nuno Leonel
Achat de droit de 1500 euros pour l’édition dvd du film dans la collection documentaire de Potemkine Films.
Illustration : Rachid Djaïdani (caméra) et le plasticien Yassine Yaze Mekhnache, pour le film Encré
Crédit : Sabrazaï Films