Festivals : Vues d'Afrique (Montréal) et Cinémas du Sud (Lyon)
Du 14 au 23 avril 2017, au Canada, et du mercredi 12 au samedi 15 avril à l'Institut Lumière de Lyon.
Directrice générale du Festival international de cinéma Vues d'Afrique 2017, Géraldine Le Chêne annonce un programme alléchant "pour que la fête des cinémas africains et créoles soit belle". Pour cette 33ème édition, la palette est large (cinéma, spectacles, expositions, bar, gastronomie, échanges, débats, colloque, kiosques, toutes nationalités confondues et sourires...) de 17h00 à minuit, pendant 10 jours. C'est le meilleur du cinéma, avec plus d'une centaine de films représentants 37 pays du monde, dans les deux salles de la cinémathèque québécoise.
Cette année le Maroc est à l'honneur. La marraine, Leila Gouchi, est originaire du Maroc. Quant au parrain Yanick Létourneau, il est originaire du Québec. La critique de cinéma belgo-congolaise Djia Mambu est dans le jury documentaires internationaux ; la réalisatrice-productrice gabonaise, également directrice du Festival de Masuku, Nadine Otsobogo est aussi jurée 2017 (compétition " Développement durable).
La 17ème édition du Festival Cinémas du Sud présente une sélection qui fait un tour d'horizon de la production récente du monde arabe en films et documentaires. Cette année, coup de projecteur sur la jeune garde du cinéma arabe qui prend le pouls d'une région en plein bouleversement, avec neuf films sélectionnés.
Le Festival Cinémas du Sud 2017 est parrainée par Hiam Abbass, talentueuse actrice et réalisatrice primée (Héritage, Mostra de Venise) qui joue dans le film d'ouverture, À mon âge je me cache encore pour fumer, de Rayhana (Algérie-France, 2016, 1h30) avec Hiam Abbass, Biyouna, Nadia Kaci, Fadila Belkebla. Une projection en présence de Rayhana, Hiam Abbass et la productrice Michèle Ray-Gavras.
Dans la sélection, deux comédies. Le premier est un film saoudien, le second palestinien : Amours, larcins et autres complications, de Muayad Alayan (Palestine, 2015, 1h33) où Mousa pensait avoir trouvé une voiture israélienne, facile à voler et facile à revendre dans son camp de réfugiés palestiniens. Le véhicule devient la cause de tous ses problèmes lorsqu'il découvre dans le coffre un soldat israélien kidnappé... "Un miracle de drôlerie totalement azimutée" selon Les Inrockuptibles (Paris). Michel Amarger (Africiné Magazine) collabore à ce festival où il anime des projections débats. Abdellah Zerguine est le Directeur artistique du festival.
Les films de 2017, à Lyon
Film d'ouverture : À mon âge je me cache encore pour fumer, de Rayhana (Algérie, 1h30), en présence de Rayhana, réalisatrice, Hiam Abbass, actrice et Michèle Ray-Gavras, productrice (KG Production)
* Chacun sa bonne, de Maher Abi Samra (Documentaire, Liban, 1h07), en présence de Camille Laemlé, productrice (Les Films d'Ici)
* Insoumise, de Jawad Rhalib (Maroc, 1h20), en présence de Jawad Rhalib, réalisateur et Sofiia Manousha, actrice principale
* Samir dans la poussière, de Mohamed Ouzine (Documentaire, Algérie, 1h01), en présence de Mohamed Ouzine, réalisateur et Samir Berka, acteur
* Amours, larcins et autres complications, de Muayad Alayan (Palestine, 1h33), en présence de Maya Abu Alhayyat, actrice
* House Without Roof, de Soleen Yusef (Irak, 1h57), en présence de Soleen Yusef, réalisatrice
* In the Last Days of the City, de Tamer El Said (Egypte, 1h58), en présence de Tamer el Said, réalisateur
* The Last of Us, de Ala Eddine Slim (Tunisie, 1h34) en présence de Jawher Soudani, acteur principal
* Barakah meets Barakah, de Mahmoud Sabbagh (Arabie Saoudite, 1h28
Thierno I. Dia
Images Francophones
Crédit image : : DR
Cette année le Maroc est à l'honneur. La marraine, Leila Gouchi, est originaire du Maroc. Quant au parrain Yanick Létourneau, il est originaire du Québec. La critique de cinéma belgo-congolaise Djia Mambu est dans le jury documentaires internationaux ; la réalisatrice-productrice gabonaise, également directrice du Festival de Masuku, Nadine Otsobogo est aussi jurée 2017 (compétition " Développement durable).
La 17ème édition du Festival Cinémas du Sud présente une sélection qui fait un tour d'horizon de la production récente du monde arabe en films et documentaires. Cette année, coup de projecteur sur la jeune garde du cinéma arabe qui prend le pouls d'une région en plein bouleversement, avec neuf films sélectionnés.
Le Festival Cinémas du Sud 2017 est parrainée par Hiam Abbass, talentueuse actrice et réalisatrice primée (Héritage, Mostra de Venise) qui joue dans le film d'ouverture, À mon âge je me cache encore pour fumer, de Rayhana (Algérie-France, 2016, 1h30) avec Hiam Abbass, Biyouna, Nadia Kaci, Fadila Belkebla. Une projection en présence de Rayhana, Hiam Abbass et la productrice Michèle Ray-Gavras.
Dans la sélection, deux comédies. Le premier est un film saoudien, le second palestinien : Amours, larcins et autres complications, de Muayad Alayan (Palestine, 2015, 1h33) où Mousa pensait avoir trouvé une voiture israélienne, facile à voler et facile à revendre dans son camp de réfugiés palestiniens. Le véhicule devient la cause de tous ses problèmes lorsqu'il découvre dans le coffre un soldat israélien kidnappé... "Un miracle de drôlerie totalement azimutée" selon Les Inrockuptibles (Paris). Michel Amarger (Africiné Magazine) collabore à ce festival où il anime des projections débats. Abdellah Zerguine est le Directeur artistique du festival.
Les films de 2017, à Lyon
Film d'ouverture : À mon âge je me cache encore pour fumer, de Rayhana (Algérie, 1h30), en présence de Rayhana, réalisatrice, Hiam Abbass, actrice et Michèle Ray-Gavras, productrice (KG Production)
* Chacun sa bonne, de Maher Abi Samra (Documentaire, Liban, 1h07), en présence de Camille Laemlé, productrice (Les Films d'Ici)
* Insoumise, de Jawad Rhalib (Maroc, 1h20), en présence de Jawad Rhalib, réalisateur et Sofiia Manousha, actrice principale
* Samir dans la poussière, de Mohamed Ouzine (Documentaire, Algérie, 1h01), en présence de Mohamed Ouzine, réalisateur et Samir Berka, acteur
* Amours, larcins et autres complications, de Muayad Alayan (Palestine, 1h33), en présence de Maya Abu Alhayyat, actrice
* House Without Roof, de Soleen Yusef (Irak, 1h57), en présence de Soleen Yusef, réalisatrice
* In the Last Days of the City, de Tamer El Said (Egypte, 1h58), en présence de Tamer el Said, réalisateur
* The Last of Us, de Ala Eddine Slim (Tunisie, 1h34) en présence de Jawher Soudani, acteur principal
* Barakah meets Barakah, de Mahmoud Sabbagh (Arabie Saoudite, 1h28
Thierno I. Dia
Images Francophones
Crédit image : : DR