Festival de Namur, Belgique : six films soutenus par l'OIF en sélection, dont quatre en compétition. Djia Mambu y est Jurée.
Dyana Gaye, en séances spéciales. Davy Chou et Danielle Arbid pris au FIFF (du 2 au 9 octobre).
Au Festival international du film francophone (FIFF) de Namur, quatre films portent l'étendard du Fonds Image de la Francophonie qui les a soutenus financièrement. Il s'agit de Père du réalisateur tunisien Lotfi Achour (Tunisie/France) en compétition courts métrages, La Vallée (Al Wadi) du Libanais Ghassam Salhab en Compétition officielle longs métrages, L'oeil du cyclone, du Burkinabè Sékou Traoré en Compétition première oeuvre de fiction. Quant à la section Regards du présent, elle accueille L'Africain qui voulait voler de la Gabonaise Samantha Biffot.
En séances spéciales, on retrouve Un transport en commun de la Sénégalaise-Française Dyana Gaye et L'Homme qui répare des femmes, la colère d'Hippocrate de Thierry Michel (Belgique) sont sélectionnés dans le Focus cinéma belge francophone.
La diaspora africaine est fortement présente avec Black des Belges Abil El Arbi et Bilall Fallah (Focus cinéma belge flamand), Des Apaches de Nassim Amaouche (Algérie/France), Much Loved de Nabil Ayouch (Maroc/France), Je suis à vous tout de suite de Baya Kasmi (France) pour le long métrage. La Vie en grand du Français Mathieu Vadepied portraiture une famille diasporique, en banlieue parisienne.
Quant au court métrage, la tendance observée au dernier festival de Cannes par le magazine Africiné (Dakar). Une lame de fond portée par plusieurs noms (parfois pas assez connus du grand public) se retrouve également à Namur avec Les Empreintes douloureuses de Bernard Kouemo (Cameroun/France), La Fin du dragon de Marina Diaby (France), Ma Manman d'Lo de Julien Silloray (Guadeloupe), Maman(s) de Maïmouna Doucouré (France), Nina de Halima Elkhatabi (Québec). Toujours pour courts métrages, les Africains viennent aussi du continent, avec Les Poissons du désert d'Alaa Eddine Aljem (Maroc) et Rabie Chetwy de Mohamed Kamel (Egypte).
Trois mois avant sa sortie dans les salles françaises, A peine j'ouvre les yeux de la Tunisienne Leila Bouzid réussit à se placer en compétition (Première Œuvre) à Namur. Dans la même section, on retrouve Baya Kasmi (France) dont Je suis à vous tout de suite est aussi le film de Clôture pour les longs métrages. La Francophonie des Suds n'est pas en reste : la Libanaise Danielle Arbid dont Africiné suit le travail présente Parisienne. Il y a aussi La Vallée (Al Wadi) de Ghassam Salhab (Libanais, né au Sénégal) qui a bénéficié d'un soutien de l'OIF. Quant à Cambodia 2099 de Davy Chou (Cambodge), c'est un court métrage qui porte un regard décalé sur l'industrialisation à travers une fable qui flirte avec le cinéma d'anticipation.
La réalisatrice et bédéiste ivoirienne Marguerite Abouet ainsi que le réalisateur-acteur algérien Khaled Benaïssa sont dans le jury longs métrages du 30e FIFF de Namur. Il est présidé par le comédien belge Olivier Gourmet entouré de la comédienne française Laura Smet, du comédien québécois Marc-André Grondin, du comédien français Raphaël Personnaz et de la productrice suisse Elisa Garbar.
La comédienne belge Lubna Azabal (qui a joué pour Nabil Ayouch, Ismaêl Ferroukhi, pour ne citer qu'eux) est la Présidente du Jury Courts métrages 2015 du Festival international du film francophone qui se tiendra du 2 au 9 octobre.
Nouveauté cette année, l'U.C.C (l'Union de la Critique de Cinéma) et l'U.P.C.B. (l'Union de la Presse Cinématographique Belge) décerneront un Prix de la Critique, attribué au meilleur long métrage belge. Pour l'occasion, trois journalistes issus des deux associations ont été désignés. Outre le prestige du prix, le réalisateur lauréat recevra un chèque de 500 euros, offert par la plate-forme Universciné. Les trois journalistes du Jury de la Critique sont Nicole Debarre (RTBF), Sylvain Gressier (Cinergie / Revue du Cinéma Belge) et last but not least notre consoeur et Grand reporter Djia Mambu (Radio Africa N°1/ Africiné / Africultures), en photo.
Thierno I. Dia
Images Francophones
Photo : Djia Mambu, Grande reporter à Africiné et journaliste aussi à Africultures ainsi qu'à la radio Africa N°1.
Crédit : Thierno I. Dia, novembre 2014, à Yoff (Dakar, Sénégal).
En séances spéciales, on retrouve Un transport en commun de la Sénégalaise-Française Dyana Gaye et L'Homme qui répare des femmes, la colère d'Hippocrate de Thierry Michel (Belgique) sont sélectionnés dans le Focus cinéma belge francophone.
La diaspora africaine est fortement présente avec Black des Belges Abil El Arbi et Bilall Fallah (Focus cinéma belge flamand), Des Apaches de Nassim Amaouche (Algérie/France), Much Loved de Nabil Ayouch (Maroc/France), Je suis à vous tout de suite de Baya Kasmi (France) pour le long métrage. La Vie en grand du Français Mathieu Vadepied portraiture une famille diasporique, en banlieue parisienne.
Quant au court métrage, la tendance observée au dernier festival de Cannes par le magazine Africiné (Dakar). Une lame de fond portée par plusieurs noms (parfois pas assez connus du grand public) se retrouve également à Namur avec Les Empreintes douloureuses de Bernard Kouemo (Cameroun/France), La Fin du dragon de Marina Diaby (France), Ma Manman d'Lo de Julien Silloray (Guadeloupe), Maman(s) de Maïmouna Doucouré (France), Nina de Halima Elkhatabi (Québec). Toujours pour courts métrages, les Africains viennent aussi du continent, avec Les Poissons du désert d'Alaa Eddine Aljem (Maroc) et Rabie Chetwy de Mohamed Kamel (Egypte).
Trois mois avant sa sortie dans les salles françaises, A peine j'ouvre les yeux de la Tunisienne Leila Bouzid réussit à se placer en compétition (Première Œuvre) à Namur. Dans la même section, on retrouve Baya Kasmi (France) dont Je suis à vous tout de suite est aussi le film de Clôture pour les longs métrages. La Francophonie des Suds n'est pas en reste : la Libanaise Danielle Arbid dont Africiné suit le travail présente Parisienne. Il y a aussi La Vallée (Al Wadi) de Ghassam Salhab (Libanais, né au Sénégal) qui a bénéficié d'un soutien de l'OIF. Quant à Cambodia 2099 de Davy Chou (Cambodge), c'est un court métrage qui porte un regard décalé sur l'industrialisation à travers une fable qui flirte avec le cinéma d'anticipation.
La réalisatrice et bédéiste ivoirienne Marguerite Abouet ainsi que le réalisateur-acteur algérien Khaled Benaïssa sont dans le jury longs métrages du 30e FIFF de Namur. Il est présidé par le comédien belge Olivier Gourmet entouré de la comédienne française Laura Smet, du comédien québécois Marc-André Grondin, du comédien français Raphaël Personnaz et de la productrice suisse Elisa Garbar.
La comédienne belge Lubna Azabal (qui a joué pour Nabil Ayouch, Ismaêl Ferroukhi, pour ne citer qu'eux) est la Présidente du Jury Courts métrages 2015 du Festival international du film francophone qui se tiendra du 2 au 9 octobre.
Nouveauté cette année, l'U.C.C (l'Union de la Critique de Cinéma) et l'U.P.C.B. (l'Union de la Presse Cinématographique Belge) décerneront un Prix de la Critique, attribué au meilleur long métrage belge. Pour l'occasion, trois journalistes issus des deux associations ont été désignés. Outre le prestige du prix, le réalisateur lauréat recevra un chèque de 500 euros, offert par la plate-forme Universciné. Les trois journalistes du Jury de la Critique sont Nicole Debarre (RTBF), Sylvain Gressier (Cinergie / Revue du Cinéma Belge) et last but not least notre consoeur et Grand reporter Djia Mambu (Radio Africa N°1/ Africiné / Africultures), en photo.
Thierno I. Dia
Images Francophones
Photo : Djia Mambu, Grande reporter à Africiné et journaliste aussi à Africultures ainsi qu'à la radio Africa N°1.
Crédit : Thierno I. Dia, novembre 2014, à Yoff (Dakar, Sénégal).