9e Festival International de Films de la Diaspora Africaine à Paris
Du 6 au 8 septembre, le film djiboutien Dhalinyaro sera en projection du FIFDA suivi d'un débat
Le Festival International de Films de la Diaspora Africaine (FIFDA) présente un cinéma inédit et souvent négligé qui met de l'avant le regard des personnes africaines et de la diaspora africaine sur la société. Après huit années de succès et un ciné-club inauguré en janvier 2013, le FIFDA revient pour sa neuvième édition avec de nouveaux films qui représentent la richesse et la diversité de l'Afrique et de sa diaspora. Cette diaspora africaine est un concept fédérateur qui permet de créer des liens entre africains et afro-descendants, menant ainsi à une meilleure connaissance et compréhension des similarités et différences qui existent à travers des croisements de cultures, langues et nationalités.
Au fil des années, les organisateurs assurent que leur mission est de présenter au plus grand nombre, des films issus de l'Afrique et de sa diaspora et de renforcer le rôle des réalisateurs africains et d'origine africaine dans le cinéma mondial contemporain. Au cinéma St André des Arts à Paris cette année, pas moins de huit (08) films sont programmés pour le bonheur des festivaliers. C'est dans ce contexte que le dimanche 8 septembre à 16h, le film Dhalinyaro de Lula Ali Ismail soutenu par le Fonds Image de la Francophonie sera projeté suivi d'un débat en présence de l'équipe du film.
Dhalinyaro raconte une histoire qui se passe à Djibouti avec Deka, Asma et Hibo, trois jeunes filles sur le point de passer le baccalauréat. Unies par une forte amitié elles viennent de classes sociales différentes et affrontent ensemble le passage à l'âge adulte. Des vies qui s'entremêlent pour que nous puissions découvrir les réalités de trois jeunes djiboutiennes de 18 ans. Toutes trois fréquentent le même lycée, à Djibouti. Asma vient d'une famille pauvre mais sa mère rêve pour elle d'une carrière de médecin. Hibo est d'une famille aisée et habite dans les beaux quartiers. Deka est issue de la classe moyenne. Sa mère, divorcée, élève seule ses quatre enfants. Pour Deka, l'école passe au second plan. Elle fréquente un homme plus âgé qu'elle, Youssouf. Asma, Deka et Hibo adorent leur professeur de philosophie, Zahra qui donne l'impression d'une totale liberté de vie et de pensée. Certaines élèves sont habillées en hijab, d'autres en jean moulant ou en boubou traditionnel. La cour de récréation bourdonne de conversations en arabe, en somali, en afar, et en français…
KAD
Enjeux Groupe Bruxelles
info@enjeux.tv
Crédit image : Dhalinyaro et Conti Films
Au fil des années, les organisateurs assurent que leur mission est de présenter au plus grand nombre, des films issus de l'Afrique et de sa diaspora et de renforcer le rôle des réalisateurs africains et d'origine africaine dans le cinéma mondial contemporain. Au cinéma St André des Arts à Paris cette année, pas moins de huit (08) films sont programmés pour le bonheur des festivaliers. C'est dans ce contexte que le dimanche 8 septembre à 16h, le film Dhalinyaro de Lula Ali Ismail soutenu par le Fonds Image de la Francophonie sera projeté suivi d'un débat en présence de l'équipe du film.
Dhalinyaro raconte une histoire qui se passe à Djibouti avec Deka, Asma et Hibo, trois jeunes filles sur le point de passer le baccalauréat. Unies par une forte amitié elles viennent de classes sociales différentes et affrontent ensemble le passage à l'âge adulte. Des vies qui s'entremêlent pour que nous puissions découvrir les réalités de trois jeunes djiboutiennes de 18 ans. Toutes trois fréquentent le même lycée, à Djibouti. Asma vient d'une famille pauvre mais sa mère rêve pour elle d'une carrière de médecin. Hibo est d'une famille aisée et habite dans les beaux quartiers. Deka est issue de la classe moyenne. Sa mère, divorcée, élève seule ses quatre enfants. Pour Deka, l'école passe au second plan. Elle fréquente un homme plus âgé qu'elle, Youssouf. Asma, Deka et Hibo adorent leur professeur de philosophie, Zahra qui donne l'impression d'une totale liberté de vie et de pensée. Certaines élèves sont habillées en hijab, d'autres en jean moulant ou en boubou traditionnel. La cour de récréation bourdonne de conversations en arabe, en somali, en afar, et en français…
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Crédit image : Dhalinyaro et Conti Films